En 2010, d’après l’enquête Fécond (Ined, 2012), 6,5 % des ouvrières n’utilisaient pas de contraception du tout contre 1,6 % des cadres. Et 73 % des ouvrières étaient suivies par un gynécologue pour leur contraception contre 82 % des cadres.
En 2014, selon la 2e enquête Fécond, après la polémique sur les pilules de 3e et 4e générations, ces inégalités se sont encore aggravées. En effet, les femmes à l’aise financièrement ont opéré un transfert partiel des nouvelles pilules contre les contraceptifs oraux plus anciens alors que les sujets les plus démunis se sont en partie tournés vers les méthodes « naturelles ».
En 2014, selon la 2e enquête Fécond, après la polémique sur les pilules de 3e et 4e générations, ces inégalités se sont encore aggravées. En effet, les femmes à l’aise financièrement ont opéré un transfert partiel des nouvelles pilules contre les contraceptifs oraux plus anciens alors que les sujets les plus démunis se sont en partie tournés vers les méthodes « naturelles ».
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