« Nous étions sidérés, ahuris. Ce ne sont pas eux qui allaient participer à l'euthanasie de notre mère, mais d'avance, comme une punition, ils la mettaient à la porte. Dehors, une vieille femme de 102 ans... alors que leur travail est simplement de l'accompagner quelques jours avant. »
Dans le journal Libération, réaction indignée du fils (médecin) d'une femme de 102 ans hébergée dans un service de long séjour à Paris et qui avait demandé à être euthanasiée en Belgique le 10 octobre dernier. La patiente a finalement été réintégrée dans le service de soins palliatifs de l'hôpital.
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
Dès 60 ans, la perte de l’odorat est associée à une hausse de la mortalité
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque