Juste après le premier tour raté des élections municipales, elle avait jeté un pavé dans la mare dans le journal Le Monde, évoquant l'élection municipale comme « une mascarade ». Pour revenir à ses premières amours : « Je n'ai plus de boulot. Je dis toujours : "Ministre un jour, médecin toujours." L'hôpital va avoir besoin de moi. Il va y avoir des milliers de morts. » Résultat, la professeure d'hématologie a tenu parole, et a repris depuis la semaine dernière son activité médicale à l'hôpital Percy à Clamart, dans la banlieue ouest de Paris, selon plusieurs de ses proches : « Elle refuse désormais toute expression publique. Mais elle ne me paraît ni stressée, ni fatiguée, elle est posée », explique l'une de ses colistières.
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation