« On peut poser la question en des termes crus : est-il logique de bénéficier des soins gratuits quand on a refusé pour soi la vaccination gratuite et qu’on met doublement en danger les autres, en pouvant les contaminer et en pouvant prendre une place en soins intensifs nécessaire pour un autre patient ? »
Martin Hirsch, directeur général de l'AP-HP, tribune du Monde du 25 janvier.
« Non, je ne suis pas d’accord pour qu’on entre dans ce type de démarche. On a défini une stratégie qui est celle de la vaccination, qu’il faut augmenter, poursuivre, parce qu’elle protège, parce qu’elle permet d’éviter des cas très graves. »
Anne Hidalgo, présidente du conseil de surveillance de l'AP-HP, sur RMC le 27 janvier.
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