Pour le professeur Bernard Devauchelle, auteur en 2005 de la première greffe de visage, « nous faisons face aujourd’hui à un problème fondamental, que l’on retrouve d’ailleurs dans la prise en charge des blessés de la Première Guerre : la confrontation entre la technologie et le biologique ». Selon lui, l’avenir de la discipline s’inscrit dans cette capacité nouvelle, grâce aux cellules souches, « à faire sortir l’organe du vivant et continuer à le faire vivre ex vivo pour pouvoir secondairement le réimplanter au patient qui en a besoin. C’est sans doute la voie qui nous permettra de nous affranchir de tout ce qui constitue le poids de la transplantation aujourd’hui : le problème de la tolérance. Nous passerions alors d’une chirurgie qui fut longtemps une chirurgie d’amputation puis de reconstruction à une chirurgie régénératrice ».
La chirurgie reconstructrice du futur?
Publié le 23/10/2014
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9359
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