L’Afssaps recommande fortement de consigner sur un « carnet de santé esthétique » à donner à chaque patient : le nombre d’injections effectuées, le délai entre deux injections, les produits utilisés, les zones ciblées et les volumes utilisés. Ces données doivent être conservées pendant un minimum de 15 ans afin de faciliter la reconnaissance d’un effet indésirable grave, en rapport avec une précédente injection. Cet effet devant par ailleurs être signalé à l’AFSSAPS par le biais d’un formulaire spécifique.
Des données à conserver pendant 15 ans minimum
Publié le 17/03/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Bilan spécialistes
Santé mentale : l’Europe s’engage à Paris à travers des politiques transversales
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
Implant Nexplanon : de nouvelles recos de l’ANSM en cas de migration
Santé sexuelle à l’ère du numérique : des opportunités à saisir