« C’est un prix abusif, a-t-elle dénoncé lors d’un déplacement dans l’Iowa, en même temps, les grandes compagnies pharmaceutiques reçoivent des milliards de dollars d’allégements fiscaux chaque année et gagnent des milliards de bénéfices chaque année. Et beaucoup dépensent plus d’argent en marketing et en publicité qu’en recherche. »

Dans un plan présenté mardi, la candidate démocrate prévoit de conditionner les allégements fiscaux de l’industrie pharmaceutique à un certain niveau de réinvestissement des bénéfices dans la recherche et le développement. Elle souhaite aussi plafonner à 250 dollars par mois (225 euros) les dépenses de médicaments non prises en charge par les assurances. Enfin, Hillary Clinton est favorable à l’importation de médicaments étrangers qui seraient moins chers, à condition qu’ils répondent aux normes américaines.