« Un positionnement généraliste, c’est la philosophie qu’a adopté la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) depuis près de 70 ans, explique Valérie Lemarchandel, responsable des affaires scientifiques à la FRM. Aucune piste n’est laissée de côté. L’idée est de travailler sur des voies auxquelles personne n’a pas pensé en se concentrant sur les meilleurs projets ».
Le budget est d’environ 40 millions d’euros par an, « plutôt en augmentation ». La neurologie-psychiatrie est un secteur très soutenu au total, puisqu’elle concentre au final 35 % des fonds. La FRM est engagée dans une dizaine de projets dans l’Alzheimer, par exemple la détection précoce de la maladie au niveau de la rétine (Slavica Krantic), thérapie génique visant le métabolisme du cholestérol dans les formes héréditaires précoces et sévères (dernière étape préclinique avant l’essai, Nathalie Cartier-Lacave), le rôle délétère inflammatoire des microglies (François Rassendren), ou encore l’étude des gènes dans une cohorte de 70 000 individus (Jean-Charles Lambert).
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