« La dispersion des taux de réussite entre les facultés de médecine suscite de nombreux commentaires des étudiants. Ces chiffres reflètent une réalité mais cachent les passerelles mises en place dans les universités pour les recalés de la PACES. Les étudiants ont intérêt à choisir une faculté jugée plus sélective si celle-ci propose davantage de réorientations. Cette situation pose toutefois la question du numerus clausus qui n’a pas été conçu pour mettre en compétition les facultés de médecine entre elles. Il faut ouvrir un débat sur le mode de sélection en médecine.
Président de l’Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF)
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