« Aujourd’hui, le DPC recouvre tout et n’importe quoi. Il est nécessaire de renforcer le contrôle de la qualité des programmes et des organismes. Et il est légitime que le ministère de la Santé définisse des priorités nationales de DPC plus ciblées. Mais j’ai l’impression que cette réforme est avant tout guidée par des contraintes budgétaires. Il ne faudrait pas, si l’obligation venait à devenir triennale, que l’enveloppe allouée aux médecins pour réaliser leur DPC soit divisée par trois.
président de l’Union nationale des associations de formation médicale et d’évaluation continues (UNAFORMEC)
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