Le directeur de l’ANRS, le Pr Jean-François Delfraissy, considérant que les nouvelles infections dans les groupes les plus exposés, en particulier chez les gays constituait « une urgence sanitaire », estime « qu’il faut élargir (la) palette d’outils de réduction des risques afin de disposer de plusieurs combinaisons de moyens préventifs utilisables par chacun en fonction de son environnement et de son histoire individuelle ». Un groupe de travail va donc être nommé avant la fin de l’année pour explorer, avec le milieu associatif, de nouvelles pistes de recherche afin d’optimiser les usages des différents moyens préventifs y compris le Prep utilisant les antirétroviraux.
Amplifier la recherche en prévention
Publié le 31/10/2012
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9183
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque
Autisme : la musique serait neuroprotectrice chez les prématurés
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?