Les médias nous imposent actuellement en permanence un homme, dont ils paraissent faire l’apologie et qui :
- a trahi Charles Pasqua en 1983 (élection à Neuilly), puis Jacques Chirac en 1995 (élection présidentielle), avant de s’installer à l’Élysée le 16 mai 2007,
- une fois installé à l’Élysée, suite à sa visite à Tripoli, a reçu en grande pompe Kadhafi à Paris en décembre 2007 et lui a permis d’installer sa tente dans le jardin de l’Hôtel Marigny. Puis il a invité Bachar el-Assad au défilé du 14 juillet 2008, et organisé son retour en grâce dans la communauté internationale,
- a été désavoué lors de l’élection présidentielle en 2012, et l’a perdue (48,36 %),
- a renié sa parole, ayant dit avant les élections chez Jean-Jacques Bourdin : « Si je perds j'arrête la politique », puis après sa défaite déclarée : « Je ne ferai plus jamais de politique »,
- est nommé dans plusieurs affaires judiciaires. Si certaines ont débouché sur un « non-lieu » sans l’innocenter, d’autres sont toujours en cours,
- bientôt sera plus à droite que l’extrême droite actuelle. Jean Marie Le Pen en jubile !
Pourquoi une telle publicité ? Cet homme avec ses antécédents est-il l’exemple de l’homme politique idéal pour représenter les Français dans le monde et la moralité des Français ?
Pourquoi les médias semblent-ils ignorer ou discréditent le programme des autres prétendants ? Pourquoi font-ils croire que ces prétendants ne sont là que dans l’espoir d’obtenir un poste dans le prochain gouvernement et non pour défendre leurs idées ?
Les médias ont déjà choisi leurs vainqueurs, et veulent nous les imposer. La place aux débats sur les véritables enjeux est occultée par des « télé réalité shows » sur le surenchérissement du « tout sécuritaire », permettant de brider de plus en plus la liberté des Français et d’augmenter leur discorde sur le plan religion, au lieu de permettre à chaque prétendant de s’exprimer calmement et clairement sur la seule véritable priorité qui est leur vision de la conduite politique et économique de notre pays.
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