L’affaire du Furosémide Teva semble définitivement close après le classement sans suite par le parquet de Paris, en l’absence d’infraction constatée, de l’enquête préliminaire sur ces boîtes de diurétique un temps soupçonnées de contenir des somnifères.
Aucune trace de somnifère Zopiclone n’a été trouvée à la place du diurétique mis en cause début juin, suite à l’alerte lancée par une pharmacie bretonne. Les enquêtes initiées par les parquets régionaux n’ont rien détecté non plus.
Dans un communiqué, « Teva se félicite des conclusions de l’enquête préliminaire le mettant hors de cause ». Le laboratoire ajoute que son usine de conditionnement de Sens dans l’Yonne « n’est en rien impliquée dans la soi-disant substitution » entre ces deux médicaments.
Transition de genre : premières recos chez l’adulte, la HAS se remet au travail pour les mineurs
L’État s’engage à augmenter le budget de l’EFS pour une souveraineté de la filière plasma
L’exposition infantile au plomb est associée à des troubles de la mémoire
Arrêt des antidépresseurs : des symptômes mais peu fréquents