Contrairement à ce qui est écrit dans l'article du 3 octobre 2016, intitulé « Le nouveau Plan Lyme veut calmer le jeu », le directeur général de la santé, le Pr Benoît Vallet, tient à préciser qu'il n'a pas promis l'arrêt des poursuites des médecins s'occupant de Lyme chronique, car il n'a pas le pouvoir de suspendre des procédures initiées par des tiers comme le Conseil de l'Ordre ou l'Assurance maladie. Le Directeur général de la santé s'est engagé, « dans le cadre du plan, à se rapprocher du conseil de l'Ordre des médecins et de la caisse d'Assurance maladie afin de mieux comprendre les motifs des procédures en cours à l'encontre des médecins ». Des premiers contacts ont déjà été pris à son initiative. « Il s'agira d'évaluer dans quelle mesure les actions prévues dans le plan permettraient d'éviter que de nouvelles procédures soient lancées, par une meilleure connaissance des médecins des méthodes diagnostiques et de traitement ayant démontré leur efficacité. Dans cette perspective, il est envisagé, avec le conseil de l'Ordre des médecins, mais également le conseil de l'Ordre des pharmaciens, de voir les modalités de leur association à la mise en œuvre de certaines actions du plan », précise-t-il.
Maladie de Lyme
Précision du Pr Benoît Vallet
Publié le 10/10/2016
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Source : Le Quotidien du médecin: 9524
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