L’Union cycliste internationale (UCI) a pris acte des conclusions de la commission indépendante pour la réforme du cyclisme (CIRC), et a annoncé vendredi un renforcement de ses mesures antidopage. Le président de l’UCI, le Britannique Brian Coockson, a précisé qu’une task force interne serait mise en place pour que « le suivi des recommandations soit correctement assuré ».
L’UCI s’est déclarée favorable à plusieurs mesures présentées dans le rapport du CIRC, notamment à la réalisation de contrôles entre 23h et 6h. Elle a également affirmé vouloir resserrer sa collaboration avec les agences antidopage, qu’elles soient nationales ou internationales, ainsi qu’avec les services des douanes et l’industrie pharmaceutique. L’UCI souhaite relancer un programme de dénonciation « au travers d’une agence indépendante » pour appuyer le code mondial antidopage.
« Nous avons mis sur pied un tribunal antidopage qui permettra de prendre des décisions cohérentes et claires de manière efficace sur les cas des coureurs internationaux » a rappelé Brian Coockson, qui précise que de nouvelles sanctions sont prévues pour les équipes dont deux membres sont reconnus coupables de dopage en l’espace d’une année, notamment une suspension de toute compétition plus une amende équivalente à 5 % du budget de l’équipe.
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