Le tribunal administratif d'Orléans a condamné l'hôpital de Romorantin (Loir-et-Cher) à verser 12 millions de francs de dommages et intérêts à la suite d'un aléa thérapeutique jugé comme « faute lourde ». La famille de la victime et la caisse primaire d'assurance-maladie, qui supporte les frais de soins médicaux et d'appareillage, se partageront cette somme.
Le 7 mars, Eric, dessinateur industriel, aujourd'hui âgé de 37 ans, doit subir l'ablation d'un kyste au cou. Par erreur, on lui introduit une sonde dans l'œsophage au lieu de la trachée artère. Asphyxié, le patient est transporté, dans un coma profond, à Blois. Depuis, paralysé, il est plongé dans un état végétatif. Une première fois, la cour d'appel d'Orléans avait reconnu les médecins responsables de blessures involontaires.
12 millions pour une erreur médicale
Publié le 14/05/2001
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 6917
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature