Guy Georges, condamné le 5 avril à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de vingt-deux ans, pour le viol accompagné d'assassinat de sept jeunes femmes à Paris, entre 1991 et 1997, a renoncé à faire appel. Agé de 38 ans, le meurtrier, sanctionné également pour une tentative d'assassinat, un viol et une agression avec violence sur trois autres personnes, a entrepris une thérapie depuis la fin de son procès. « Il a vu déjà deux fois un psychologue et veut rencontrer, aussi, un psychiatre. Il souhaite comprendre deux choses, explique son avocat Me Alex Ursulet. Pourquoi il a fait "ça", et pourquoi sa mère l'a abandonné. »
Guy Georges devrait quitter logiquement la prison parisienne de la Santé pour une centrale pénitentiaire. Auparavant, il pourrait être jugé devant le tribunal correctionnel de la capitale, pour une tentative d'évasion avec deux codétenus, le 26 décembre. Toutefois, comme il a effectué quarante jours de quartier disciplinaire pour cela, il n'est pas certain que le parquet de Paris, compétent en la matière, décide de l'ouverture d'un nouveau procès public.
Guy Georges en thérapie
Publié le 19/04/2001
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6902
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