Le ministre de la Recherche, Roger-Gérard Schwartzenberg, vient de mettre en place le réseau de recherche et d'innovations technologiques « Pollutions marines accidentelles et conséquences écologiques sur le littoral ». Selon le ministre, « il faut réconcilier science et environnement. La recherche peut et doit contribuer à une meilleure protection de l'environnement et au développement durable. Il s'agit donc aujourd'hui du troisième réseau de recherche consacré à l'environnement », après la création des réseaux « Eau et Technologies de l'environnement » et « Terre et Espace ».
Le champ d'action du réseau commence à la source de la pollution (naufrage, déballastage, etc.). Il porte, d'une part, sur le repérage, la caractérisation, le suivi des nappes de polluants, leur récupération et leur traitement, et, d'autre part, sur la protection et la réhabilitation des écosystèmes littoraux et marins. Ce réseau traitera des pollutions par hydrocarbures, mais aussi des pollutions chimiques ou par déchets. Le comité d'orientation de ce réseau est constitué d'une vingtaine de membres issus de la recherche publique (IFREMER, INERIS, CNRS, etc.), du monde industriel et professionnel (comme Total Fina-Elf) et de donneurs d'ordres dans le domaine de la lutte contre les pollutions marines (telles les agences de l'eau).
Un réseau de recherche sur les pollutions marines accidentelles
Publié le 01/05/2001
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6909
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