Je commençais à douter sérieusement des médecins et de leur bon sens (cf. «Vaccination forcée contre le Covid : une médecin vétérinaire sans justification médicale», «Le Quotidien» du 15 octobre). Alors qu’il est enfin admis que les jeunes, voir les adultes font myocardites et péricardites et que certains pédiatres admettent que même s’il y a guérison apparente on ignore le devenir, on continue à vacciner nos jeunes, même ceux ayant une sérologie positive, à partir du moment où ils n’ont pas bénéficié d’un PCR (comme par exemple contaminés pendant les vacances à la montagne) et donc n’ont pas de preuve de contamination récente.
Exemple familial : un jeune de 19 ans doublement vacciné depuis deux mois a été sérieusement atteint et a contaminé son père également vacciné et son frère de 16 ans non vacciné, le seul qui n’a pratiquement pas été gêné. Mais celui-là, s’il veut continuer le sport, il faudra le vacciner quand-même.
« Doublement vaccinés, doublement protégés » ? Et s’ils étaient allés voir les grands parents pendant la période d’incubation, pensez-vous que ceux-ci, vaccinés, n’auraient rien attrapé et auraient évité le Rivotril ?
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