Ce n'est pas la première fois que « Le Quotidien du Médecin » sonde ses lecteurs. Mais en cette fin d'année, le moment nous a semblé particulièrement opportun de se rapprocher de vous. Question d'actualité, d'abord. L'hôpital gronde, la ville s'impatiente… Pour le corps médical, ça va vite, très vite. Et dans ce contexte mouvant, il nous paraît important de prendre le pouls des médecins. L'autre raison qui nous amène à vous solliciter, amis lecteurs, c'est aussi l'impression que la profession n'est plus aussi homogène qu'avant : les jeunes pousses de la médecine entonnant parfois un tempo un peu différent de leurs aînés. Et puis, la presse médicale n'échappe pas au journalisme «bashing», même si c'est mezza voce... Réactions confraternelles, que nous recevons comme une motivation supplémentaire pour progresser, même quand elles nous suprennent.
Et si nous en discutions ensemble ? C'est le rendez-vous que nous donnons à tous nos lecteurs jeudi prochain à 13h au cours d'un live chat inédit sur notre site internet. Soyez nombreux à nous faire part de vos désirs et de vos attentes. La presse médicale est-elle suffisamment à l’écoute des médecins ? Adopte-t-elle le ton juste pour relater l’actualité santé ? Privilégie-t-elle les sujets qui le méritent vraiment ? Est-elle objective ? Notre titre est-il suffisamment exhaustif pour que tous les médecins s’y retrouvent ? Pendant une heure, les responsables de la rédaction du Quotidien du Médecin vous répondront en direct. Ce sera l’occasion d’évoquer avec tous la méthode de travail de l’équipe rédactionnelle, de débattre en toute transparence de ses choix éditoriaux et de sonder notre lectorat sur ses priorités, ses enthousiasmes ou ses agacements. Pas de censure, ni de tabou. Toutes les questions sont les bienvenues. Vous avez la parole… À jeudi !
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
Face au casse-tête des déplacements, les médecins franciliens s’adaptent
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique