L’IDÉE de concevoir un véhicule familial à partir d’une base utilitaire ne date pas d’aujourd’hui. Lancée par Renault et PSA, elle fait son chemin. De cette consanguinité assumée sont nés les ludospaces. Cible privilégiée, les jeunes couples. Et qui dit jeunes couples, dit souvent pouvoir d’achat limité. Il ne faut pas chercher ailleurs le succès rencontré par le Kangoo, le Partner, le Berlingo et le Doblo, affublés du sobriquet de « monospaces du pauvre » par leurs détracteurs.
À l’instar de ses concurrents français, Volkswagen dépoussière son Caddy. Face avant (calandre à barres et optiques effilées) calquée sur celle des Golf, Passat et Polo, ESP de série, sièges de la deuxième rangée retirables, équipements high-tech – hélas souvent optionnels –, boîte double embrayage, quatre roues motrices sur certains modèles, porte latérale coulissante côté droit, finition soignée, le Caddy VP se positionne résolument au sommet de la hiérarchie. Par petites touches, il se rapproche donc du Touran.
Livré de série avec le stop and start en version Confortline, il offre en sus une version longue 7 places (Caddy maxi) au volume de chargement impressionnant.
Parmi les nombreuses motorisations inscrites au catalogue, on note la présence du 2 l TDI 140 ch FAP, 4 Motion, boîte DSG 6 et du très sobre TDI 102 ch Blue Motion peu gourmand en C02.
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