À Nancy, des chercheurs travaillent sur un projet de recherche mené par un consortium sous l’égide de l’université de Lorraine (UL) pour développer des biomarqueurs à partir de paramètres électrophysiologiques (ERG, EEG, etc.) traités par les outils des sciences du numérique (IA). L'objectif est de réaliser des évaluations à haute fréquence de patients ayant des troubles psychiatriques, cognitifs et/ou neurologiques avec l’aide des dispositifs médicaux connectés qui apporteront des résultats en temps réel à des praticiens. « Avec cette méthode, nous serons capables de détecter précocement un certain nombre de maladies mentales et de créer un parcours de soins de précision pour le patient », explique professeur Raymund Schwan, psychiatre au centre psychothérapeutique de Nancy (CPN). Le projet qui devrait commencer début 2021 nécessitera des financements importants de plusieurs millions d'euros et emploiera à terme une centaine de personnes. Est prévue ainsi la création d'un centre d'excellence à vocation mondiale associant les laboratoires de recherche de l’UL (Inria, CNRS, Inserm), le monde médical et des partenaires privés, dont la société Bioserenity.
Brève
Un projet de recherche basé sur l'IA pour détecter les maladies mentales
Par
Publié le 03/12/2020
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail

rcfr
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Le programme Emmie au Québec ou comment amener les femmes enceintes à se vacciner
Décès de Roland Mehl, fondateur du prix Galien
Fraude à la Sécu : un couple de médecins accusé d’avoir détourné un million d’euros
Des personnalités demandent l'entrée au Panthéon de la psychiatre et résistante Adélaïde Hautval