Les données de la CNAM montrent que les patients « fracturés » utilisaient avant la fracture par rapport à des témoins : d’avantage d’antidépresseurs (+50%), de corticoïdes (+60%), d’antiépileptiques (+20%), de neuroleptiques (+40%).
Une réduction des doses de psychotropes (favorisant les chutes) et des corticoïdes (fragilisant l’os) doivent donc être entreprises en plus de la supplémentation en vitamine D, de la préconisation de marche à pied
et de la prescription d’un traitement de fond, une fois le diagnostic fait par densitométrie osseuse et bilan biologique.
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