L’ivermectine, en crème à 1 %, vient de démontrer sa supériorité sur le placebo dans les formes pustulopapulaires de rosacée, au terme d’une étude de phase III d’une durée de 12 semaines, qu’il s’agisse du pourcentage de patients débarrassés de leurs lésions (p ‹ 0,01), de la régression des lésions inflammatoires (75 % vs 50 %), de l’estimation par les patients de leur état clinique (p ‹ 0,01) ou de leur qualité de vie. Pour tous les critères étudiés la supériorité de l’ivermectine est significative dès la 4e semaine (p ‹ 0,001) et elle se maintient pendant toute la durée de l’essai. Enfin, la tolérance cutanée est meilleure avec la crème contenant l’ivermectine (1,5 % à 3,5 % d’effets indésirables contre 5,7 % – 6,9 % dans le groupe témoin).
Linda Stein Gold (Detroit) et al
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