Les données s’accumulent aujourd’hui pour souligner l’association entre les profils psychologiques et l’état de santé, dont le diabète et le pied diabétique. Des études ont ainsi montré que les patients avec des scores de Bortner faibles, qui concernent des personnalités de type B, moins assidues, moins consciencieuses, sont plus souvent associées à des plaies du pied que les scores plus élevés, qui sont les personnalités de type A, plus assidues et plus consciencieuses et donc plus adhérentes aux soins des pieds.
Des travaux récents, qui restent à confirmer, montrent qu’au-delà de leurs conséquences sur le comportement, les profils psychologiques seraient associés à des caractéristiques biologiques particulières, avec notamment une moindre inflammation.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024