Des scientifiques américains du Texas viennent de montrer le rôle protecteur contre le cancer du sein d’un gène déjà connu, Rak. Il agit en empêchant la dégradation d’un suppresseur de tumeur, la protéine PTEN. Cette dernière est souvent diminuée au cours de la tumeur mammaire, mais rarement mutée. L’équipe de Shiaw-Yih Lin a confirmé sa découverte en injectant à des souris des cellules surexprimant le gène Rak. Elles n’ont pas déclaré de tumeur, contrairement à des rongeurs témoins. À l’inverse, l’injection de cellules dépourvues du gène a occasionné l’apparition de tumeurs.
Cancer Cell, 6 avril 2009.
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