Des chercheurs américains ont montré que le matériel génétique du SARS-CoV-2 pouvait intégrer le génome de son hôte et ont mis en évidence les mécanismes en jeu. Après un processus de transcription inverse, l'ARN du virus peut intégrer le génome des cellules infectées et être exprimé sous forme de transcrits chimériques combinant à la fois des séquences virales et des séquences cellulaires. Cette découverte pourrait expliquer pourquoi certaines personnes restent positives au test PCR longtemps après avoir guéri de l'infection. Environ 8 % de notre ADN serait constitué de vestiges d'anciens virus.
L. Zhang et al., PNAS, 2021. doi.org/10.1073/pnas.2105968118
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