Une patiente de 50 ans, en très bon état général, enseignante dans un lycée, me réclame un arrêt de travail de deux semaines.
Je lui réponds qu'il n'y a aucun motif médical pour justifier un tel arrêt de travail.
Elle insiste avec des arguments fallacieux et je reste sur ma position. C'est alors qu'elle finit par m'avouer que « l'été dernier, elle s'est occupée de sa mère malade et qu'elle n'a pas pu partir en vacances, ce qui fait qu'un arrêt de travail l'arrangerait bien pour rattraper une partie des vacances perdues ».
Mon refus ferme et définitif a mis fin à notre relation médecin-malade.
Urologue
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