Comme en 2016, le CHU de Bordeaux se maintient à la tête du classement annuel des 50 meilleurs hôpitaux de l'hebdomadaire « le Point », devant le CHU de Toulouse, en progression. Perdant une place, Lille se classe troisième, devant Strasbourg, Tours, la Pitié-Salpêtrière (Assistance publique - Hôpitaux de Paris), Grenoble, Nantes et Nancy.
Parmi les 50 établissements publics et privés à but non lucratif au tableau d'honneur du magazine, 40 sont situés en province et 16 sont non universitaires. Les CHU occupent cependant les 27 premières places du palmarès.
Côté secteur privé, le CHP Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine, groupe Vivalto Santé) remporte la palme pour la huitième année consécutive. La clinique Jean-Mermoz (Lyon) se classe deuxième, devant la clinique de l'Anjou (Angers) et les Nouvelles Cliniques nantaises, qui se maintiennent dans le haut du tableau. Suivent la polyclinique de Courlancy (Reims), celle de l'Union (Saint-Jean) et la polyclinique de Limoges.
La clinique Geoffroy-Saint-Hilaire (37e) est le seul établissement privé parisien cité par « le Point ».
Près de 70 classements par pathologie
Pour figurer au classement général, hôpitaux et cliniques doivent fournir un service médical et chirurgical complet. Des classements spécifiques complètent le tableau général : cancers, AVC, chirurgie de l'œil (cataracte, myopie, etc.), de l'obésité, orthopédique (prothèses de hanche et de genou), urgences traumatologiques, pédiatrie, schizophrénie, etc. En tout, ma prise en charge de 68 et 42 disciplines médicales est respectivement analysée dans les secteurs public et privé.
Un reportage en Bourgogne sur les restructurations hospitalières et un article sur la prévention du suicide des patients complètent, entre autres, ce dossier.
Vers un moratoire sur les fermetures des maternités ? Les obstétriciens du Syngof disent non
Hôpitaux de Marseille : « l’affaire Adida est une déflagration », juge le DG de l’AP-HM François Crémieux
Santé des soignants : deux prix pour valoriser l’engagement des blouses blanches pour leurs pairs
Accès aux soins psy : l’alerte de la FHF