Les inhibiteurs des SGLT2 doivent être privilégiés dans le diabète de type 2 en cas de maladie cardiovasculaire athéromateuse, d’insuffisance cardiaque ou de maladie rénale chronique. Mais ces recommandations sont-elles suivies sur le terrain ? Vingt études observationnelles publiées entre 2019 et 2023 ont enrôlé de 100 à 537 980 patients DT2 avec l’une de ces comorbidités [CAD_035]. Si elle tend à augmenter, l’utilisation des iSGLT2 reste basse dans cette population, entre 7,4 % et 28 %, sans réelle différence selon le pays considéré ou la pathologie sous-jacente.
iSGLT2, entre guidelines et vie réelle
Par
Publié le 18/04/2024
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin
Article précédent
Essais encourageants de la boucle dans le DT2
Article suivant
Les SMS du congrès de la Société francophone du diabète 2024
DT1 et obésité : quand le diabète frappe deux fois
DT1 : succès de la boucle semi-fermée en vie réelle
Les patients âgés, aussi, peuvent avoir accès aux nouvelles thérapies dans le diabète
Neuropathie diabétique : retour aux fibres
Essais encourageants de la boucle dans le DT2
iSGLT2, entre guidelines et vie réelle
Les SMS du congrès de la Société francophone du diabète 2024
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024