Contrairement à un dosage classique de CRP, certains tests capillaires demandent à peine quelques minutes et peuvent être réalisés « au lit du patient ». Largement développé dans les pays anglo-saxons, leur usage est très limité en France, faute notamment d’un cadre législatif clair. Pourtant, selon un premier travail sur la CRP semi-quantitative, les généralistes y voient un moyen de « progresser dans leur démarche clinique », « prendre une décision rapide » et « faciliter la communication avec le patient ». Une revue de la littérature conclut pour sa part que la CRP capillaire présente « un niveau de précision et de fiabilité acceptable » par rapport au dosage veineux. Enfin, l’analyse de plus de 100 publications suggère que la CRP capillaire réduirait le mésusage en antibiotiques.
La CRP sur le bout du doigt
Publié le 17/04/2025
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Source : Le Quotidien du Médecin
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