On sait que le prurit chronique, qui accompagne de nombreuses dermatoses – à commencer par le psoriasis et la dermatite atopique, altère gravement la qualité de vie des patients.
Jusqu’à présent, on n’avait aucun traitement spécifique et vraiment efficace à lui opposer. Cela va peut-être changer avec les premiers résultats prometteurs d’un inhibiteur de TrkA kinase qui cible les neurones sensoriels impliqués dans le signal du prurit.
Son application topique pendant 8 semaines fait chuter de 60 % l’intensité du prurit contre 21 % avec un placebo (p‹0,001). La tolérance locale et générale est bonne. Attendons les études de phase III pour conclure, mais ces premiers résultats laissent espérer que l’on pourra bientôt mieux maîtriser cette symptomatologie invalidante.
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